One Day Hommage à Martin LUTHER kING 2013
1 er Prix avec félicitations du jury Régi
Chorégraphie Lhacen Hamed Ben Bella
Interpretes:
Rachel Valery,
Raphaële Pellerin,
Maëva Magot,
Marion Guesdon,
Sarah Marechal,
Nordine Hébert,
Benjamin Gouy-pailler Launay Charivari
Cepa Inm Le Mans
de Martin Luther King, Jr.
Delivré sur les marches du Lincoln Memorial à Washington D.C. le 28 octobre 1963.
Je suis heureux de pouvoir être ici avec vous aujourd'hui, à une manifestation dont on se rappellera comme étant la plus grande manisfestation pour la
liberté dans l'histoire de notre pays.
Il y a cent ans, un grand Américain, à l'ombre de qui nous sommes aujourd'hui, a signé la Proclamation d'Emancipation. Ce décret capital est arrivé comme une grande lumière d'espoir pour les
millions d'esclaves qui avaient été brûlés par les flammes de l'injustice qui consume. Il est venu comme une aurore joyeuse pour terminer la longue nuit de leur captivité.
Mais, un siècle plus tard, le Noir n'est toujours pas libre; un siècle plus tard la vie du Noir est toujours tristement handicapée par les menottes de la ségrégation et les chaînes de la discrimination; un siècle plus tard, le Noir vit isolé sur une île d'indigence au milieu d'un vaste océan de prospérité; un siècle plus tard, le Noir languit toujours dans les coins de la société américaine et il se trouve en exilé dans sa propre terre.
Nous sommes donc venus ici aujourd'hui pour dramatiser une condition honteuse. Dans un sens, nous sommes venus à la capitale de notre pays pour toucher ce qui nous est dû. Quand les architectes de notre république ont écrit les mots magnifiques de la Constitution et de la Déclaration d'Indépendance, ils ont signé un billet à ordre, dont tous les Américains devaient hériter. Ce billet était une promesse qu'à tous les hommes, oui, les hommes noirs aussi bien que les hommes blancs, seraient garantis les droits inaliénables de vie, de liberté, et de poursuite du bonheur.
Il est clair aujourd'hui que l'Amérique a manqué à ses engagements en ce qui concerne ses citoyens de couleur. Au lieu de faire honneur à cette obligation sacrée, l'Amérique a donné au peuple noir un chèque sans provisions; un chèque qui nous est revenu marqué "fonds insuffisants". Nous refusons de croire que la banque de la justice soit en faillite. Nous refusons de croire qu'il y ait des fonds insuffisants dans les grandes chambres fortes d'opportunité de cette nation. Par conséquent, nous sommes venus ici pour encaisser notre chèque, le chèque qui nous donnera sur demande les richesses de la liberté et la sécurité de la justice.
Nous sommes venus à ce lieu sacré pour rappeler au peuple américain l'urgence extrème du présent. Ce n'est pas le moment de nous adonner au luxe de nous détendre ou de nous contenter de la drogue tranquillisante d'une solution graduelle. Il est temps maintenant de rendre réelles toutes les promesses de la démocratie; il est temps maintenant de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour nous avancer vers le sentier brillant de la justice raciale; il est temps maintenant d'aider notre nation à se dégager des sables mouvants de l'injustice raciale pour l'installer sur le roc solide de la fraternité; il est temps maintenant de faire que la justice devienne une réalité pour tous les enfants de Dieu. Ce serait une erreur fatale pour la nation de refuser de voir l'urgence du moment. Cet été étouffant du mécontentement légitime du Noir ne finira pas jusqu'à ce qu'arrive un automne vivifiant de liberté et d'égalité.
1963 n'est pas une fin, mais un commencement. Et ceux qui espèrent que le Noir avait besoin de passer sa colère et qu'il est maintenant satisfait, auront un rude réveil si la nation revient à sa routine. Il n'y aura ni repos ni tranquillité en Amérique jusqu'à ce que le Noir obtienne ses droits de citoyenneté. Les tourbillons de la révolte continueront à ébranler les fondements de notre nation jusqu'à ce que le jour clair de la justice se lève à l'horizon.
Mais il y a quelque chose que je dois dire à mon peuple, qui a le pied sur le seuil attrayant qui mène au palais de la justice. Tout en cherchant à obtenir la place qui nous est dûe, nous ne devons pas être coupables d'actions mauvaises. Ne cherchons pas à satisfaire notre soif de liberté en buvant dans la tasse de l'amertume et de la haine. Nous devons pour toujours conduire notre lutte sur un plan élevé de dignité et de discipline. Nous ne devons pas laisser nos revendications créatrices dégénérer en violence physique. Encore et encore, nous devons nous élever jusqu'aux hauteurs majesteuses où l'on réfute la force physique avec la force de l'âme.
L'esprit militant, nouveau et merveilleux, qui a pénétré la communauté Noire, ne doit pas nous amener à manquer de confiance en tous les Blancs, parce que beaucoup de nos frères blancs, comme le prouve leur présence ici aujourd'hui, se rendent maintenant compte que leur destinée est liée à notre destinée, et ils sont arrivés à la réalisation que leur liberté est inextricablement liée à notre liberté. Nous ne pouvons pas cheminer seuls. Et en cours de chemin, nous devons promettre que nous marcherons toujours de l'avant. Nous ne pouvons pas retourner en arrière.
Il y a ceux qui demandent aux partisans des Droits Civiques,"Quand serez-vous satisfaits?" Nous ne serons jamais satisfaits tant que le Noir sera victime des horreurs indicibles de la brutalité de la police; nous ne serons jamais satisfaits tant que nos corps, lourds de la fatigue du voyage, nous ne pourrons pas obtenir un logement dans les motels de la grand'route et dans les hôtels des villes; nous ne serons pas satisfaits tant que la mobilité essentielle du Noir consistera à aller d'un ghetto plus petit à un autre plus grand; nous ne serons jamais satisfaits tant qu'on dépouillera nos enfants de leur amour-propre et tant qu'on les privera de leur dignité avec des pancartes qui déclarent: "Pour les Blancs Seulement." Nous ne serons pas satisfaits tant que le Noir du Missippippi ne pourra pas voter, et le Noir de New York croira qu'il n'a rien en faveur de quoi il peut voter. Non! Non, nous ne sommes pas satisfaits, et nous ne serons pas satisfaits jusqu'à ce que "la justice dévale comme un torrent et le droit comme un fleuve puissant."
Je n'ignore pas que certains d'entre vous sont venus ici après de grandes épreuves et tribulations. Quelques-uns parmi vous sont récemment sortis de prisons étroites. Quelques-uns parmi vous sont venus de régions où, dans votre quête pour la liberté, vous avez été meurtris par les orages de la persécution et rendus chancelants par les vents de la brutalité de la police. Vous êtes les vétérans de la souffrance inventive. Continuez à travailler dans la foi que la souffrance non méritée est rédemptrice. Retournez dans le Mississippi; retournez dans l'Alabama; retournez en Caroline du Sud; retournez en Georgie; retournez en Louisiane; retournez aux bas quartiers et aux ghettos des villes du nord sachant que, d'une manière ou d'une autre, cette situation doit être et sera changée! Ne nous vautrons pas dans la vallée du désespoir!
Donc, mes amis aujourd'hui je vous dis que quoique nous devions faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, j'ai tout de même un rêve. C'est un rêve qui est profondément enraciné dans le rêve américain. Je rêve qu'un jour cette nation se dressera et fera honneur à la vraie signification de son credo: "Nous tenons ces vérités comme évidentes, que tous les hommes sont créés égaux." Je rêve qu'un jour sur les collines rouges de Georgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. Je rêve qu'un jour, même l'état du Mississippi, un état qui étouffe dans la fournaise de l'injustice, qui étouffe dans la fournaise de l'oppression, sera transformé en une oasis de liberté et de justice. Je rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés par la couleur de leur peau, mais à la mesure de leur caractère.
J'ai un Rêve Aujourd'hui!
Je rêve qu'un jour, au fin fond de l'Alabama, avec ses racistes pleins de haine --avec son gouverneur des lèvres de qui dégoulinent les mots de l'interposition et de la nullification-un jour, même là, en Alabama, les petits garçons noirs et les petites filles noires pourront aller la main dans la main avec les petits garçons blancs et les petites filles blanches, comme frères et soeurs.
J'ai Un Rêve Aujourd'hui!
Je rêve qu'un jour, chaque vallée sera rehaussée et chaque colline et chaque montagne sera aplanie, les aspérités seront nivelées et les endroits torteux seront rendus rectilignes, et "la gloire de Dieu sera révélée et tout ce qui est chair le verra ensemble."
C'est notre espérance. C'est la foi avec laquelle je retourne dans le Sud. Avec cette foi nous pourrons tailler dans la montagne du désespoir, la stèle de l'espoir. Avec cette foi, nous pourrons transformer la cacophonie des discordes de notre nation en une belle symphonie de la fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, aller en prison ensemble, défendre la cause de la liberté ensemble, sachant qu'un jour nous serons libres. Et ce sera le jour, ce sera le jour où tous les enfants de Dieu pourront chanter avec une signification nouvelle:"Ma patrie c'est toi, douce terre de liberté, c'est toi que je chante. Terre où mes aïeux sont morts, terre fierté du Pélerin; que du versant de chaque montagne retentisse le carillon de la liberté." Et si le destin de l'Amérique est d'être une grande nation, tout cela doit devenir vrai.
Que la liberté retentisse donc des collines prodigieuses du New Hampshire jusqu'aux imposantes montagnes du New York. Que la liberté retentisse du sommet des majesteuses Alleghenies de Pennsylvanie. Que la liberté retentisse des pics couronnés de neige des Rocheuses du Colorado. Que la liberté retentisse des versants mamelonés de la Californie. Mais non seulement cela. Que la liberté retentisse du haut de Stone Mountain en Georgie. Que la liberté retentisse du haut de Lookout Mountain au Tennessee. Que la liberté retentisse de chaque colline, et des moindres monticules dans le Mississippi. "Que du versant de chaque montagne retentisse le carillon de la liberté!"
Et quand cela se produira, quand nous permettrons à la liberté de retentir, quand elle retentira dans chaque village, et dans chaque hameau, dans chaque état et dans chaque ville, nous serons à mesure de hâter l'arrivée du jour où tous les enfants de Dieu, noirs et blancs, juifs et non juifs, protestants et catholiques, pourrons chanter en se tenant la main ces mots du vieux Negro Spiritual: "Libres enfin, libres enfin; béni soit le Tout-Puissant, nous sommes libres enfin!"
Je suis heureux de pouvoir être ici avec vous aujourd'hui, à une manifestation dont on se rappellera comme étant la plus grande manisfestation pour la
liberté dans l'histoire de notre pays.
Il y a cent ans, un grand Américain, à l'ombre de qui nous sommes aujourd'hui, a signé la Proclamation d'Emancipation. Ce décret capital est arrivé comme une grande lumière d'espoir pour les
millions d'esclaves qui avaient été brûlés par les flammes de l'injustice qui consume. Il est venu comme une aurore joyeuse pour terminer la longue nuit de leur captivité.
Mais, un siècle plus tard, le Noir n'est toujours pas libre; un siècle plus tard la vie du Noir est toujours tristement handicapée par les menottes de la ségrégation et les chaînes de la discrimination; un siècle plus tard, le Noir vit isolé sur une île d'indigence au milieu d'un vaste océan de prospérité; un siècle plus tard, le Noir languit toujours dans les coins de la société américaine et il se trouve en exilé dans sa propre terre.
Nous sommes donc venus ici aujourd'hui pour dramatiser une condition honteuse. Dans un sens, nous sommes venus à la capitale de notre pays pour toucher ce qui nous est dû. Quand les architectes de notre république ont écrit les mots magnifiques de la Constitution et de la Déclaration d'Indépendance, ils ont signé un billet à ordre, dont tous les Américains devaient hériter. Ce billet était une promesse qu'à tous les hommes, oui, les hommes noirs aussi bien que les hommes blancs, seraient garantis les droits inaliénables de vie, de liberté, et de poursuite du bonheur.
Il est clair aujourd'hui que l'Amérique a manqué à ses engagements en ce qui concerne ses citoyens de couleur. Au lieu de faire honneur à cette obligation sacrée, l'Amérique a donné au peuple noir un chèque sans provisions; un chèque qui nous est revenu marqué "fonds insuffisants". Nous refusons de croire que la banque de la justice soit en faillite. Nous refusons de croire qu'il y ait des fonds insuffisants dans les grandes chambres fortes d'opportunité de cette nation. Par conséquent, nous sommes venus ici pour encaisser notre chèque, le chèque qui nous donnera sur demande les richesses de la liberté et la sécurité de la justice.
Nous sommes venus à ce lieu sacré pour rappeler au peuple américain l'urgence extrème du présent. Ce n'est pas le moment de nous adonner au luxe de nous détendre ou de nous contenter de la drogue tranquillisante d'une solution graduelle. Il est temps maintenant de rendre réelles toutes les promesses de la démocratie; il est temps maintenant de quitter la vallée sombre et désolée de la ségrégation pour nous avancer vers le sentier brillant de la justice raciale; il est temps maintenant d'aider notre nation à se dégager des sables mouvants de l'injustice raciale pour l'installer sur le roc solide de la fraternité; il est temps maintenant de faire que la justice devienne une réalité pour tous les enfants de Dieu. Ce serait une erreur fatale pour la nation de refuser de voir l'urgence du moment. Cet été étouffant du mécontentement légitime du Noir ne finira pas jusqu'à ce qu'arrive un automne vivifiant de liberté et d'égalité.
1963 n'est pas une fin, mais un commencement. Et ceux qui espèrent que le Noir avait besoin de passer sa colère et qu'il est maintenant satisfait, auront un rude réveil si la nation revient à sa routine. Il n'y aura ni repos ni tranquillité en Amérique jusqu'à ce que le Noir obtienne ses droits de citoyenneté. Les tourbillons de la révolte continueront à ébranler les fondements de notre nation jusqu'à ce que le jour clair de la justice se lève à l'horizon.
Mais il y a quelque chose que je dois dire à mon peuple, qui a le pied sur le seuil attrayant qui mène au palais de la justice. Tout en cherchant à obtenir la place qui nous est dûe, nous ne devons pas être coupables d'actions mauvaises. Ne cherchons pas à satisfaire notre soif de liberté en buvant dans la tasse de l'amertume et de la haine. Nous devons pour toujours conduire notre lutte sur un plan élevé de dignité et de discipline. Nous ne devons pas laisser nos revendications créatrices dégénérer en violence physique. Encore et encore, nous devons nous élever jusqu'aux hauteurs majesteuses où l'on réfute la force physique avec la force de l'âme.
L'esprit militant, nouveau et merveilleux, qui a pénétré la communauté Noire, ne doit pas nous amener à manquer de confiance en tous les Blancs, parce que beaucoup de nos frères blancs, comme le prouve leur présence ici aujourd'hui, se rendent maintenant compte que leur destinée est liée à notre destinée, et ils sont arrivés à la réalisation que leur liberté est inextricablement liée à notre liberté. Nous ne pouvons pas cheminer seuls. Et en cours de chemin, nous devons promettre que nous marcherons toujours de l'avant. Nous ne pouvons pas retourner en arrière.
Il y a ceux qui demandent aux partisans des Droits Civiques,"Quand serez-vous satisfaits?" Nous ne serons jamais satisfaits tant que le Noir sera victime des horreurs indicibles de la brutalité de la police; nous ne serons jamais satisfaits tant que nos corps, lourds de la fatigue du voyage, nous ne pourrons pas obtenir un logement dans les motels de la grand'route et dans les hôtels des villes; nous ne serons pas satisfaits tant que la mobilité essentielle du Noir consistera à aller d'un ghetto plus petit à un autre plus grand; nous ne serons jamais satisfaits tant qu'on dépouillera nos enfants de leur amour-propre et tant qu'on les privera de leur dignité avec des pancartes qui déclarent: "Pour les Blancs Seulement." Nous ne serons pas satisfaits tant que le Noir du Missippippi ne pourra pas voter, et le Noir de New York croira qu'il n'a rien en faveur de quoi il peut voter. Non! Non, nous ne sommes pas satisfaits, et nous ne serons pas satisfaits jusqu'à ce que "la justice dévale comme un torrent et le droit comme un fleuve puissant."
Je n'ignore pas que certains d'entre vous sont venus ici après de grandes épreuves et tribulations. Quelques-uns parmi vous sont récemment sortis de prisons étroites. Quelques-uns parmi vous sont venus de régions où, dans votre quête pour la liberté, vous avez été meurtris par les orages de la persécution et rendus chancelants par les vents de la brutalité de la police. Vous êtes les vétérans de la souffrance inventive. Continuez à travailler dans la foi que la souffrance non méritée est rédemptrice. Retournez dans le Mississippi; retournez dans l'Alabama; retournez en Caroline du Sud; retournez en Georgie; retournez en Louisiane; retournez aux bas quartiers et aux ghettos des villes du nord sachant que, d'une manière ou d'une autre, cette situation doit être et sera changée! Ne nous vautrons pas dans la vallée du désespoir!
Donc, mes amis aujourd'hui je vous dis que quoique nous devions faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, j'ai tout de même un rêve. C'est un rêve qui est profondément enraciné dans le rêve américain. Je rêve qu'un jour cette nation se dressera et fera honneur à la vraie signification de son credo: "Nous tenons ces vérités comme évidentes, que tous les hommes sont créés égaux." Je rêve qu'un jour sur les collines rouges de Georgie, les fils des anciens esclaves et les fils des anciens propriétaires d'esclaves pourront s'asseoir ensemble à la table de la fraternité. Je rêve qu'un jour, même l'état du Mississippi, un état qui étouffe dans la fournaise de l'injustice, qui étouffe dans la fournaise de l'oppression, sera transformé en une oasis de liberté et de justice. Je rêve que mes quatre jeunes enfants vivront un jour dans une nation où ils ne seront pas jugés par la couleur de leur peau, mais à la mesure de leur caractère.
J'ai Un Rêve Aujourd'hui!
Je rêve qu'un jour, au fin fond de l'Alabama, avec ses racistes pleins de haine --avec son gouverneur des lèvres de qui dégoulinent les mots de l'interposition et de la nullification--un jour, même là, en Alabama, les petits garçons noirs et les petites filles noires pourront aller la main dans la main avec les petits garçons blancs et les petites filles blanches, comme frères et soeurs.
J'ai Un Rêve Aujourd'hui!
Je rêve qu'un jour, chaque vallée sera rehaussée et chaque colline et chaque montagne sera aplanie, les aspérités seront nivelées et les endroits torteux seront rendus rectilignes, et "la gloire de Dieu sera révélée et tout ce qui est chair le verra ensemble."
C'est notre espérance. C'est la foi avec laquelle je retourne dans le Sud. Avec cette foi nous pourrons tailler dans la montagne du désespoir, la stèle de l'espoir. Avec cette foi, nous pourrons transformer la cacophonie des discordes de notre nation en une belle symphonie de la fraternité. Avec cette foi, nous pourrons travailler ensemble, prier ensemble, lutter ensemble, aller en prison ensemble, défendre la cause de la liberté ensemble, sachant qu'un jour nous serons libres. Et ce sera le jour, ce sera le jour où tous les enfants de Dieu pourront chanter avec une signification nouvelle:"Ma patrie c'est toi, douce terre de liberté, c'est toi que je chante. Terre où mes aïeux sont morts, terre fierté du Pélerin; que du versant de chaque montagne retentisse le carillon de la liberté." Et si le destin de l'Amérique est d'être une grande nation, tout cela doit devenir vrai.
Que la liberté retentisse donc des collines prodigieuses du New Hampshire jusqu'aux imposantes montagnes du New York. Que la liberté retentisse du sommet des majesteuses Alleghenies de Pennsylvanie. Que la liberté retentisse des pics couronnés de neige des Rocheuses du Colorado. Que la liberté retentisse des versants mamelonés de la Californie. Mais non seulement cela. Que la liberté retentisse du haut de Stone Mountain en Georgie. Que la liberté retentisse du haut de Lookout Mountain au Tennessee. Que la liberté retentisse de chaque colline, et des moindres monticules dans le Mississippi. "Que du versant de chaque montagne retentisse le carillon de la liberté!"
Et quand cela se produira, quand nous permettrons à la liberté de retentir, quand elle retentira dans chaque village, et dans chaque hameau, dans chaque état et dans chaque ville, nous serons à mesure de hâter l'arrivée du jour où tous les enfants de Dieu, noirs et blancs, juifs et non juifs, protestants et catholiques, pourrons chanter en se tenant la main ces mots du vieux Negro Spiritual: "Libres enfin, libres enfin; béni soit le Tout-Puissant, nous sommes libres enfin!
🌟 Bella Danse présente 🌟
STAGE NATIONAL DANSE DE LA TOUSSAINT NANTES 2023
Ne manquez pas notre stage national de danse organisé par Bella Danse à Nantes les 21 et 22 octobre ! Une occasion unique de perfectionner votre art au sein d'un environnement dynamique et inspirant.
Profitez de ces tarifs avantageux en vous inscrivant tôt ! Offrez-vous une expérience enrichissante et diversifiée en choisissant parmi notre sélection de cours de danse de haute qualité.
📍 Lieu : 20 frère louis 44200 Nantes
N'attendez plus pour vivre une expérience inoubliable avec des professionnels de la danse. Réservez dès maintenant votre place, elles sont limitées, alors ne tardez pas !
📅 Dates : Samedi 21 octobre - Dimanche 22 octobre 2023
🕘 Horaires :
- 09h30-11h00 : Rosine Nadjar - Contemporain
- 11h15-12h45 : Johanna Aparicio - Modern’Jazz
- 13h00-14h30 : Laure Demollière - Jazz
- 14h45-16h15 : Julie Sicard - Jazz
- 16h30-18h00 : Carl Portal - Contemporain
Profitez des tarifs réduits en vous inscrivant avant le 29 septembre 2023 !
Voici les tarifs réduits pour le stage national de danse de la Toussaint Nantes 2023, valables jusqu'au 29 septembre 2023 :
- 1 cours : 35 €
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- 5 cours : 100 €
- 6 cours : 110 €
- 7 cours : 115 €
- 8 cours : 120 €
- 9 cours : 126 €
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L'équipe de Bella Danse
Danseuse, professeur et chorégraphe, Julie Sicard enseigne un Jazz unissant technique et virtuosité
Choregraphe de la compagnie Julie Sicard, missionée par le ministère de la Culture pour la variation EAT 2020, elle parcourt la France intervenant au CRR de Paris, de Toulon, Reims... mais aussi dans les écoles de danse principalement à CHOREIA, centres chorégraphiques, stages de danse internationaux.
Professeur au Pôle Supérieur d'enseignement artiste Paris Boulogne-Billancourt (PSPBB), formatrice en école Professionnelle et conservatoire à Paris, Julie Sicard mène enseignement et création de front.
Plusieurs pièces font du répertoire de la Cie J.S un solide support transmis lors d'invitations pour Jeunes Ballets « Les Envolées « avec le jeune ballet d'Aquitaine, « Running with the Wolf » avec le Pont Supérieur à Nantes, »Somos », « Uhuru »créations pour le PSPBB Paris.
Présidente et jurée pour les EAT et diplôme d'état Jazz, elle s'intéresse aussi au tissus artistique qui l'entoure en poussant la porte des Balls, Evénements éphémères ou l'improvisation est maîtresse.
Danseuse et co-choregraphe auprès de Patrice Valero, première danseuse auprès de Jacques Dombrowski, elle danse aussi pour différents festivals tels Suresnes CitéDanse, La Vilette avec la Cie Yano Yatrides.
Sa rencontre avec Patrice Valero reste un point fort décidant d'évoluer, de danser auprès de lui. Elle sera interprète sur toutes les pièces de la compagnie: « Sueno de Verano », Fugit Amor », Fantaisy Barock « , « Blue Vanda ».
Aujourd'hui, la compagnie J.Sicard compte plusieurs pièces: « Casques », « Gino », « No Man's Land »...dont la dernière en date « Les Envolées » pièce chorégraphique, jouée en Janvier 2022 au CRR de Chambery dans laquelle Julie Sicard danse.
À partir de Septembre 2022, elle collabore avec Marie-Agnès Gilot (étoile classique) sur L'École des Sacres.
C'est un grand plaisir pour elle de vous accueillir sur ses cours open au Centre des Arts Vivants
Welcome !
Julie Sicard enseigne à l'école de formation professionnelle CHOREIA en tant que professeur de modern'jazz.
Grâce à sa formation pluridisciplinaire, Julie Sicard utilise plusieurs techniques dans son enseignement.
Axé sur les rythmes, la rapidité, la tonicité, la prise de risque comme les chutes, le cours de Julie Sicard se situe hors des sentiers battus. Après avoir transmis une base commune à toutes les danses, c'est-à-dire la souplesse et les positions, Julie Sicard emmène ses élèves dans différents univers.
A l'écoute du corps et des possibilités de chacun, Julie Sicard partage sa passion du mouvement avec générosité, humour, patience pour le plaisir de chacun.
LAURE DEMOLLIÈRE a obtenu son diplôme d'Etat en 2005 au Studio harmonic. Elle travaille en création avec Thierry Verger et Cathy Bisson puis crée son collectif qui se produit dans divers festivaux nationaux.Parallèlement elle enseigne en conservatoire et au Studio Harmonic un travail technique musical ,entre accents et fluidité, impulsions et suspensions, avec un rapport au sol fort basé sur le développement de chacun.
Rosine Nadjar est danseuse, chorégraphe et enseignante. Elle ne peut envisager de dissocier son travail en tant que chorégraphe de son travail de « transmetteur », l’un nourrissant l’autre en permanence. Après une formation au conservatoire de la Rochelle auprès de pédagogues telles que Colette Milner, Marie-Paule Cantenys, Christine Girard et Brigitte Asselineau, elle poursuit sa formation au conservatoire de la Roche s/Yon parallèlement à des études en Histoire. Rosine Nadjar a travaillé en tant que danseuse-interprète pour les compagnies Taille Unique, Françoise Chedmail (Nantes), Grégoire & Co, Sylvie Le Quéré (Guingamp). Elle a également dansé pour la compagnie Ccandance, Christian Canciani, pendant 6 ans ( Marseille/New York) en étant son assistante sur plusieurs créations ainsi que pour la compagnie Déformance, Hervé Rumeau, (Tarbes). Rosine Nadjar fonde la Cie Lo en 2005 après avoir créé Zeugma, trio sur la notion de lien qui remporte le 2ème prix au concours international
Danseuse professionnelle dans la comédie musicale "Le Roi Soleil", ainsi que pour des émissions télévisées sur TF1 telles que "La Star Academy", France2, M6,
W9...
Chorégraphe de "L'UEFA Euro 2016" à Marseille, ainsi que des "Glamcat's" lors de l'émissions télévisée " La Meilleure Danse" mais aussi pour divers évènements
comme le "Vintage Day" à St Cyr sur Mer et la Ciotat.
18 fois médaillées d'or en individuel lors de concours nationaux et internationaux.
Professeur de Danse diplômé d'Etat et créatrice de "L'Ecole de Danse Johanna Aparicio".
Réalisatrice artistique de ses propres clips mettant en avant de jeunes danseursau travers de différents univers artistiques
Carl Portal - Intervenant - Chorégraphe - Stage de danse - Modern jazz
Basé sur la fusion de techniques modernes Horton, Cunningham et les influences Jazz, ce cours permet aux stagiaires d’exprimer leurs émotions sur différentes
rythmiques où le mouvement du corps est fluide et organique.
Originaire de Perpignan, il se forme au conservatoire de Montpellier puis au centre Rick Odums à Paris.
Danseur pour Anne-Marie Porras, la Cie Linga en Suisse, Kamel Ouali et en tant que soliste pour la Cie Marie-Claude Pietragalla. Carl Portal intervient en tant que
professeur invité dans de nombreuses écoles de formation professionnelle en France et à l’étranger. Ses expériences au sein de nombreuses comédies musicales comme Ali Baba, Notre Dame de Paris,
les Dix Commandements confirment son talent de chorégraphe, qu’il met à profit dans sa propre compagnie, la Cie Carl Portal. Chorégraphe et metteur en scène de la comédie musicale Roméo et
Juliette à Paris puis en tournée en Asie. Carl évolue dans des univers très différents. Carl fait partie de ces artistes qui incarnent la nouvelle vague de chorégraphes en France et diffusent
leur talent à l’international.